Il n’est pas toujours facile de trouver le bon acheteur pour la bonne RPA. Et parmi les candidats convoités il y a les investisseurs étrangers. Évidemment, il ne sont pas légion au Québec, qui désirent acheter une résidence pour aînés (du moins si on les compare au nombre d’acheteurs québécois), mais ils ont bien souvent les fonds nécessaires pour en acquérir une parfois imposante, et certains d’entre eux ont effectivement le désir d’en acquérir une… voire plusieurs.
Mais le défi est tout de même de taille pour le nouvel arrivant: non seulement la culture est différente mais la législation en matière d’habitation pour aînés l’est tout autant. Il lui faudra faire ses premières armes au Québec également en tant qu’acheteur puis gestionnaire de RPA, et ce même s’il en possédait déjà une dans son pays.
De son côté, le courtier aura pour défi non seulement de trouver une résidence pour personnes âgées à son acheteur, mais aussi de guider ce dernier dans ses premiers pas au Québec en tant qu’investisseur. C’est ce qu’a fait Richard Perreault à plusieurs reprises durant sa carrière.
Il a fait de la prospection en France afin d’évaluer l’intérêt des Français pour les RPA du Québec. Il a même établi des contacts avec l’ambassade. Et ses efforts ont porté des fruits à plusieurs reprises, démontrant ses capacités à guider des acheteurs étrangers, à travers les méandres de la législation et les défis organisationnels qu’impose la gestion d’une résidence pour aînés.
Il a tout récemment aidé un investisseur français à acheter sa première RPA et cette transaction a été précédée de nombreuses autres, comme les résidences La Tourellière, l’accueil St-Roch ou la résidence Aux deux tourelles…
RÉSIDENCES POUR PERSONNES ÂGÉES À VENDRE – CLIQUER ICI