Une inspection par un professionnel révélera, disent-ils, de nombreux petits problèmes pouvant être corrigés facilement et à peu de frais. Ces problèmes mineurs auxquels le propriétaire a cessé de porter attention, un acheteur potentiel pourra s’y attarder en vue de négocier le prix de vente. Par ailleurs, les problèmes plus importants révélés par l’inspection et que le vendeur décidera de ne pas faire réparer, il pourra simplement les mentionner à l’acheteur en l’avisant que le prix de vente a été ajusté en conséquence. Du coup, le processus de négociation sera allégé.
Une inspection avant la vente, en créant un climat de bonne foi, rassurera l’acheteur potentiel et évitera juste avant la clôture de la transaction bon nombre de surprises pour les deux parties. Enfin, un rapport détaillé d’inspection permettra au vendeur de constater l’état actuel de sa propriété et de la vendre au plus près du prix demandé.
Rappelons que l’inspection visuelle de bâtiments principalement résidentiels n’est pas encadrée par une loi au Québec. Cependant l’Association des inspecteurs en bâtiments du Québec (AIBQ), qui compte quelques 200 membres, s’est dotée en début d’année d’une nouvelle norme de pratique dont les exigences, dit-on, sont parmi les plus strictes en Amérique du Nord.
RÉSIDENCES POUR PERSONNES ÂGÉES À VENDRE – CLIQUER ICI
bcBRP 32.1